les convulsions chez bébé

N’essayez pas d’arrêter les mouvements : la plupart des convulsions s’arrêtent en moins de 5 mn.
Emmener bébé directement à l’hôpital.
Bébé fait des convulsions : tout savoir sur ces crises !

Les convulsions du nourrisson surviennent chez environ 5% des bébés. Une consultation en urgence s’impose  néanmoins pour éliminer tout problème grave qui serait à l’origine de ces convulsions.

Qu’est-ce qu’une convulsion pour bébé ?

Les convulsions fébriles sont des crises de contractions musculaires liées à la fièvre, non associées à une infection neurologique. Alors que sa température monte brutalement, bébé est soudain pris de secousses musculaires saccadées et non contrôlées au niveau des bras et des jambes. Bébé devient pâle et perd connaissance. Les convulsions durent quelques minutes, puis il retrouve assez rapidement son état normal et s’endort profondément. La crise est très impressionnante, mais bénigne. Les crises de convulsions peuvent se répéter lors d’un nouvel accès de fièvre dans 30% des cas. Un bilan médical s’impose lors du premier épisode afin d’être sûr qu’il ne s’agisse pas d’une méningite ou d’une encéphalite. Les convulsions touchent environ 5% des bébés entre 9 mois et 5 ans, elles sont donc assez fréquentes à cet âge. Les crises de convulsions  dites « compliquées », également liées à un épisode fiévreux, vont quant à elles durer plus de 15 minutes, peuvent se répéter plusieurs fois dans la journée et occasionner des séquelles neurologiques. Elles concernent davantage les enfants de moins d’un an et les bébés présentant un trouble du développement neurologique ou psychomoteur antérieur. Si la fièvre n’est pas à l’origine du malaise, les convulsions sont peut-être causées par un dysfonctionnement cérébral ou une épilepsie.

Comment diagnostiquer une crise de convulsions chez bébé ?

Dès le début de l’épisode de convulsions, il faut consulter un médecin ou emmener bébé aux urgences. La crise étant brève, elle est en général terminée lors de la consultation. Il vous faudra donc raconter en détail ce qui s’est passé pour bébé. Le médecin s’assurera alors que la crise de convulsions est bien due à la fièvre. Il va chercher l’origine de cette fièvre qui peut être une otite ou une rhinopharyngite. En cas de doute, il va s’assurer qu’il ne s’agit pas d’une méningite. Pour cela, il procèdera à un électroencéphalogramme ou éventuellement une ponction lombaire afin de préciser si la crise de convulsions est simple ou compliquée et, dans ce cas, il pourra envisager un traitement antiépileptique et une hospitalisation pour d’autres examens.

Comment traiter les crises de convulsions de bébé ?

La première chose à faire est d’appeler le SAMU puis de s’occuper de bébé. Il faut le placer en position latérale de sécurité, c’est-à-dire le coucher sur le côté sans oreiller. Vérifiez aussi que son nez et sa bouche sont bien dégagés, il peut y avoir des vomissements, et au besoin maintenez sa bouche ouverte. Comme la crise de convulsions simple est due à la fièvre, il faut la faire baisser en lui donnant un antipyrétique comme du paracétamol. Le médecin pourra vous prescrire un traitement préventif à donner à bébé en cas de forte fièvre pour éviter de nouvelles crises.
S’il s’agit de crises de convulsions compliquées, le traitement se fera lors de l’hospitalisation de bébé et peut être très diffèrent en fonction des causes.

Les aphtes de bébé

Les aphtes de bébé

A part les adultes, les enfants et les nourrissons peuvent être aussi atteints par l’aphte. Pour le cas des bébés ou des nourrissons, il est difficile de savoir s’il a un aphte surtout pour un aphte sous la langue ou dans la bouche quand il ne peut pas encore parler.

Il a seulement mal et refuse de manger car il est très difficile d’avaler quoique ce soit pour lui avec un aphte dans la bouche. Il est donc important pour les parents d’emmener directement son bébé quand ce genre de symptômes apparaît afin que le médecin puisse le consulter et déterminer l’aphte.

Dans la plupart des cas, les aphtes chez l’enfant ou le bébé apparaissent pendant ou après une fièvre même si elle est légère. Son organisme est encore si fragile que quand il est contaminé par n’importe quel microbe, il risque d’avoir un aphte. Dans d’autres cas, d’autres maladies peuvent être aussi suivies par une apparition de l’aphte, car comme nous l’avons dit, son organisme n’est plus en état de se défendre contre d’autres microbes, ses anticorps s’affaiblissent. Mais l’aphte peut être guéri rapidement ou longtemps chez l’enfant et en suivant les prescriptions d’un médecin.

L’aphte chez les bébés peut aussi apparaître comme un petit point insignifiante mais peut-être aussi mal chez un enfant ou un bébé, les parents ne doivent pas, dans ce cas, faire un soin maison mais doivent l’emmener chez le pédiatre ou un

médecin pour qu’il reçoive les soins nécessaires et recevoir les vitamines dont son organisme aura besoin.

Les aphtes chez le bébé peuvent être dus à une hypersensibilité aux bactéries qui se trouvent dans la bouche de l’enfant, à une infection des amygdales ou à un manque de fer, de vitamine B12 ou d’acide folique.

Les aphtes chez le bébé sont de petites vésicules douloureuses de couleur blanche ou rouge et qui se forment sur les parois de la bouche du bébé ou sous la langue. Les aphtes ont généralement la taille d’une tête d’épingle mais ils peuvent être aussi grands qu’une petite pièce de monnaie. Les aphtes apparaissent seuls ou en groupes.

Les aphtes chez l’enfant peuvent avoir plusieurs origines : une hypersensibilité aux bactéries présentes dans la bouche de l’enfant, une infection des amygdales ou un manque de fer, de vitamine B12 ou d’acide folique. En général, les aphtes se soignent spontanément dans les 7 à 10 jours, voire plus s’ils sont grands. Si, après quelques jours, ils se transforment en des lésions blanchâtres, cela signifie que le processus de guérison a commencé. Cependant, il n’est pas exclu que les aphtes puissent apparaître plusieurs fois par an.

Les antibiotiques sont totalement inutiles pour le traitement des aphtes chez le bébé. Il en va de même pour les anti-inflammatoires qui ne font que soulager les symptômes. Votre pédiatre pourra toutefois vous prescrire une solution antiseptique à appliquer avec un coton-tige dans la bouche de votre enfant.

Si les aphtes gênent beaucoup votre bébé, vous pouvez lui donner du paracétamol. Il est aussi possible que votre enfant ne puisse pas se brosser les dents à cause de la douleur, mais il est très important qu’il garde la bouche propre. De plus, pour faciliter la guérison des aphtes, vous devez faire en sorte que votre enfant ne mange pas d’aliments acides ou salés. Et mieux vaut lui donner des aliments semi-liquides comme des smoothies aux fruits, des jus de légumes ou du fromage frais pendant quelques jours.

Quand faut-il aller chez le pédiatre ?

Vous devez consulter votre pédiatre si :

– Les gencives de votre enfant gonflent et prennent une couleur rouge ou jaune.

– Les aphtes sont nombreux (plus de 4 ou 5).

– Votre enfant a plus de à 38°C de fièvre.

– Les gencives de votre bébé sont rouges, douloureuses et enflées.

– Votre petit ne boit pas assez.

– Des aphtes sont également apparus sur les paupières et les organes génitaux.

– L’état de votre enfant s’aggrave.

CONFORT DIGESTIF DE BEBE

Votre bout’chou pleure beaucoup ? Essayez les caresses, essayez les massages !
Apprenez à masser votre bout’chou pour le soulager en inscrivant les lettres d’amour « LoVe » sur son petit ventre dans vos caresses !
Laissez vous guider, notre expert gastro-pédiatre vous explique ces quelques gestes simples.

CALMOSINE digestion bouchon doseur et dosettes

Calmosine est simple à utiliser et permet de retrouver le calme
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  • Facile à utiliser (prêt à l’emploi)

CALMOSINE digestion, boisson apaisante aux extraits de plantes bio

CALMOSINE digestion est complément alimentaire d’origine naturelle et doux, à visée familiale, composé d’extraits aqueux de plantes. Le Fenouil améliore le confort digestif, le Tilleul est connu pour ses vertus calmantes notamment au niveau digestif. La Fleur d’Oranger apporte son arôme délicat à la formule.

ecocertPour la fabrication de CALMOSINE digestion, les Laboratoires LAUDAVIE ont dès l’origine fait le choix de sélectionner des plantes issues de l’agriculture biologique, c’est-à-dire cultivées par des agriculteurs engagés dans une démarche de respect de l’environnement. La gamme CALMOSINE digestion (flacon et dosettes) est certifiée BIO.
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Avec du fenouil

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Le Fenouil et le Tilleul sont utilisés et connus depuis des siècles, pour leurs vertus apaisantes et digestives.

Conseils d’utilisation Administrée avant un repas, CALMOSINE digestion a une action à la fois apaisante et digestive.CALMOSINE digestion peut avoir une action particulièrement bénéfique chez les petits en cas d’inconfort digestif : apaisés, ils retrouvent leur calme et leurs pleurs diminuent. Parmi les familles qui utilisent CALMOSINE digestion pour apaiser leur enfant, le taux de satisfaction est de 64%.

Une gamme élargie, avec l’arrivée des dosettes !

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les dosettes

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(une noisette utilisé pur avant chaque biberon et si nécessaire au moment des douleurs sur la tototte) :

Gel oral (arôme framboise)

Il est utilisé dans le traitement des douleurs ou brûlures d’estomac et des ballonnements.

ANTIFLATULENT : La diméticone, substance physiologiquement inerte, n’a pas d’activité pharmacologique et agit en modifiant la tension superficielle des bulles de gaz provoquant ainsi leur coalescence.

Il existe des séances contre les coliques chez le kinésithérapeute, très efficace (en 2 séances).

LE HOQUET

Bébé a le hoquet

Jusqu’à un an, les hoquets sont très fréquents chez les enfants et peuvent durer plusieurs minutes…

Le hoquet, déjà dans le ventre de maman

Les hoquets sont très fréquents chez les enfants, particulièrement chez les nourrissons. Ils peuvent durer une demi-heure, voire une heure. Heureusement, ils ne sont pas douloureux pour le bébé. Vous n’avez donc pas à vous inquiéter. Sachez par ailleurs que c’est une sensation que votre enfant ressentait déjà dans votre ventre. En effet, dès la vingtième semaine de grossesse, le fœtus a le hoquet.

Les causes du hoquet

Le hoquet est dû à une contraction spasmodique subite et involontaire du diaphragme.  Il survient lorsque l’estomac, rempli d’air ou de liquide, se dilate. Cela provoque l’étirement du nerf commandant le diaphragme et entraîne une sorte de « dérèglement » de ce muscle. Le diaphragme se contracte alors de manière incontrôlée et répétitive, entrainant la vibration des cordes vocales. Le son guttural caractéristique du hoquet est provoqué par la fermeture brutale de la glotte suivant chaque spasme.

Comment calmer le hoquet de Bébé

Non douloureux pour l’enfant, le hoquet  disparaît tout seul. Il faut donc faire preuve de patience. Néanmoins, s’il se prolonge, ce phénomène peut agacer votre bébé. Le hoquet apparaît parfois lorsque votre enfant est trop stimulé. Pour le calmer, prenez-le dans vos bras, promenez-le en lui tapotant le dos, bercez-le… Vous pouvez éventuellement lui donner de l’eau pure, de l’eau sucrée ou du lait à téter. Il existe également des remèdes homéopathiques contre le hoquet, y compris pour les nourrissons… Renseignez-vous auprès de votre pédiatre. Le hoquet peut aussi  apparaître après le repas. N’hésitez donc pas à  prendre votre bébé sur vos genoux pendant environ 20 minutes après l’avoir nourri. Pour éviter le hoquet, vous pourrez également séquencer davantage les repas,  lui donner de plus petites quantités de nourriture, mais plus souvent. Si vous lui donnez le biberon, faites-lui faire son rot toutes les deux ou trois minutes.

Hoquet et régurgitation

Votre bébé peut avoir le hoquet après son repas ou après avoir régurgité. Dans la majorité des cas, il s’agit d’un reflux, assez fréquent chez les tout-petits. Et pour cause, à ce stade de développement, la valve musculaire située à l’extrémité de l’œsophage, qui aide à garder la nourriture dans l’estomac, n’est pas encore mature. Une fois l’estomac plein, la nourriture et le contenu acide peuvent remonter. Même si les reflux et le hoquet sont des phénomènes courants chez les bébés, n’hésitez pas à en parler à votre pédiatre s’ils deviennent trop importants.

Gastro-entérite de bébé

Les « gastros » du nourrisson sont spectaculaires et préoccupantes : il faut absolument éviter la deshydratation, surtout si les vomissements sont associés à une diarrhée et de la fièvre. Il peut être utile de peser l’enfant au début de la maladie pour être en mesure d’apprécier une éventuelle perte de poids de 10 %, au-delà de laquelle l’hospitalisation est indispensable. Dans la grande majorité des cas, heureusement, les gastros, bénignes, ne sont qu’un mauvais moment à passer.

Des causes multiples

A leur origine, un virus, un rotavirus (très contagieux) le plus souvent, ou un champignon. Les otites aussi provoquent des diarrhées et les angines un vomissement ; la vérification des tympans et de la gorge est en conséquence systématique même si le bébé présente tous les signes de la gastro-entérite. Les examens de selles sont inutiles pour ces gastro-entérites aiguës banales et le traitement est celui des symptômes, à savoir les vomissements et diarrhées.

Le lait doit être évité ; en revanche, les yaourts – qui restaurent la flore intestinale – sont conseillés. Tout comme un régime alimentaire, type coquillettes ou soupes de légumes, qui n’agresse pas l’intestin. De petites quantités d’eau sucrée et salée doivent être délivrées à l’enfant tout au long de la journée. Tout devrait alors rentrer dans l’ordre en 48 à 72 heures… jusqu’à la prochaine alerte. (surveiller le poids du bébé).

LA BRONCHIOLITE

(FICHE SUR LA BRONCHIOLITE A TÉLÉCHARGER) :

Cliquer pour accéder à doc-bronchiolite-parents-1.0.pdf

http://sante-medecine.commentcamarche.net/contents/112-bronchiolite-du-nourrisson-symptomes

Bronchiolite du nourrisson

Quels sont les symptômes de la bronchiolite ?

Une bronchiolite commence comme une simple rhinopharyngite, avec une légère fièvre, un nez qui coule et une toux sèche. Le nourrisson présente ensuite une gêne respiratoire (respiration rapide entrecoupée de pauses), notamment pendant les repas. Il est agité et repousse ses biberons. Ses bronches sont encombrées par des sécrétions qu’il n’arrive pas à évacuer. Parfois, on peut entendre des sifflements respiratoires.

Quelles sont les complications de la bronchiolite ?

La plupart du temps, la bronchiolite évolue sans complications et les difficultés respiratoires disparaissent spontanément en quelques jours. Néanmoins, certains enfants sont durablement gênés ou présentent des récidives fréquentes. Une fièvre élevée, une otite ou des sécrétions purulentes doivent alerter sur une possible surinfection bactérienne qui nécessite l’administration d’antibiotiques. Dans certains cas, les difficultés qu’éprouve l’enfant pour respirer peuvent se transformer en détresse respiratoire nécessitant une hospitalisation, voire des mesures de réanimation.

Les causes de la bronchiolite

La bronchiolite est une infection virale des bronches les plus petites, les bronchioles, qui amènent l’air tout au fond des poumons. Elle s’observe chez l’enfant de moins de deux ans et surtout chez le nourrisson de moins de six mois. Dans plus de 80 % des cas, la bronchiolite est due au virus respiratoire syncitial (VRS) qui se transmet par l’intermédiaire des gouttelettes expulsées par la toux et les éternuements, mais aussi par l’intermédiaire des mains ou d’objets contaminés.

appareil respiratoire
Schéma bronchioles et alvéoles

Comment réagir en cas de bronchiolite ?

  • Faites boire votre enfant souvent et en petites quantités.
  • Fractionnez ses repas.
  • Surélevez légèrement le thorax de votre bébé à l’aide de coussins placés sous le matelas.
  • Réduisez la température de la chambre à 18 ou 19°C et humidifiez l’air.
  • Ne fumez pas en sa présence ni dans une pièce où il peut séjourner.
  • Soulagez sa fièvre si l’enfant semble en souffrir.

Quand faut-il consulter un médecin en cas de bronchiolite ?

Appelez immédiatement le service d’aide médicale d’urgence (SAMU) en composant le 15 ou le 112 :

  • si l’enfant éprouve de grandes difficultés à respirer.
  • si l’enfant respire vite et se fatigue.
  • si son comportement change.
  • s’il demeure somnolent et s’il refuse de boire et de se nourrir.
  • si ses lèvres ou ses ongles deviennent bleus.
  • si sa respiration ralentit peu à peu et que l’enfant semble s’endormir.

Consultez un médecin dans la journée :

  • dans tous les cas, si le nourrisson a moins de deux mois.
  • si le nourrisson respire de manière saccadée, s’il est agité, boit peu et repousse les biberons.
  • si sa respiration est sifflante.
  • si sa fièvre augmente et qu’il semble avoir mal à l’oreille.

La prévention de la bronchiolite

Quelques règles d’hygiène peuvent limiter le risque de contamination en période d’épidémie :

  • lavez-vous les mains avant de toucher votre nourrisson ;
  • n’embrassez pas votre enfant sur le visage, embrassez-le sur la nuque ou le corps ;
  • si vous êtes enrhumé, il est préférable de porter un masque lorsque vous vous occupez de votre bébé. Faites-en un jeu s’il semble inquiet.
  • si possible, ne sortez pas votre bébé de un ou deux mois dans des lieux trop fréquentés et trop confinés, comme les transports en commun ou les grandes surfaces ;
  • aérez régulièrement votre logement et évitez de surchauffer les pièces (19 à 20°C suffisent) ;
  • rincez régulièrement le nez du nourrisson en cas de rhume ;
  • n’échangez pas les tétines ou les petites cuillères d’un bébé avec celles d’un autre ;
  • ne fumez pas en présence d’un enfant.

Les traitements de la bronchiolite

Il ne peut y avoir d’automédication en cas de bronchiolite chez un nourrisson, sauf pour soulager la fièvre. Seul le médecin peut juger si l’administration d’un médicament est nécessaire en complément des lavages du nez avec du sérum physiologique et de la kinésithérapie respiratoire pour aider l’enfant à expulser les sécrétions bronchiques par la bouche.

Les fluidifiants bronchiques sont contre-indiqués chez les enfants de moins de deux ans. Les antibiotiques ne sont administrés qu’en cas de surinfection bactérienne. Les médicaments bronchodilatateurs (comme ceux utilisés lors d’une crise d’asthme) sont contre-indiqués, voire dangereux pour le jeune enfant. Les médicaments contre la toux sont à éviter car ils empêchent l’expulsion des sécrétions bronchiques.

Sans complications, la bronchiolite guérit en sept à dix jours. L’hospitalisation est nécessaire dans les formes les plus graves. La bronchiolite est néanmoins la principale cause des admissions de nourrissons à l’hôpital en période hivernale.

RHUME RHINITE RHINOPHARYNGITE NEZ BOUCHE ENCOMBRE OU QUI COULE

le mouche-bébé manuel (celui où l’on aspire) reste le plus efficace, dans la mesure où vous sentez le pression, ou vous contrôlez au mieux l’aspiration.

Je vous conseille d’utiliser le mouche-bébé lorsque la morve est liquide, que le nez coule. Si ce sont des crottes, cela signifie que les narines de votre petit-bout sont sèches. En utilisant le mouche bébé alors que ses narines sont sèches vous risquez de les lui abimer, de les irriter.

Aussi, au préalable un coup de sérum phy dans chaque narine : Pencher la tête de votre bébé sur un coté, envoyer un bon de sérum phy dans la narine (de la face exposé de l’enfant), et immédiatement après bouchez lui cette même narine et la bouche. Pas de besoin de rester 10 secondes à boucher sa bouche et sa narine, normalement, en trois secondes ça sort. Ensuite passez à l’autre narine.
Remettez un tout petit peu de sérum pour continuer d’humidifier les narines et ramollir les crottes.
environ 2-3 minutes après passez à l’attaque avec le mouche bébé.

Et enfin, la mèche qui l’aide à éternuer devrait finir de lui débarrasser des crottes.

MA SELECTION :

Prorhinel_Spray__50ae94f9e1f164857387

On peut mettre du coton à la place des filtres, plus économique que de racheter des filtres à chaque fois.

1/ j’allonge bébé sur le dos à un moment plus ou moins calme

2/ je penche la tête de bébé sur le côté

3/ j’insère délicatement juste l’extrémité de l’embout du spray et pschitt la narine face à moi

4/ aussitôt, je bouche la même narine 2 secondes et fais attention que ça ne coule pas dans sa bouche,

5/ j’essuie le nez avec un mouchoir en papier

6/ Je relève bébé quelques instants, laisse le produit un peu agir

7/ enfin, bébé allongé j’utilise le mouche bébé (juste l’extrémité de l’embout) aspire doucement sans trop forcer et essuie avec un mouchoir en papier les secrétions qui sortent et renouvelle l’opération pour l’autre narine.

(2 x/jr, voire 3 seulement en cas de rhume et nez encombré environ 5 jrs).

si le nez est juste encombré sans rhume, j’utilise du sérum physiologique normal :

Physiodose Format Economique

Traiter le rhume de bébé et la rhinite (1)

Le rhume et la rhinITe qu’est-ce-que c’est ?

Le rhume est une infection bénigne aigue  très fréquente chez les enfants. Il  peut survenir à toutes les périodes de l’année, et  est très contagieux,  il est donc peu probable que votre bébé passe à côté.  Le rhume résulte d’une agression virale  entrainant  comme symptômes nez bouché ou nez qui coule. Il se caractérise par une inflammation d’une partie ou de l’ensemble des voies aériennes (nez, sinus, gorge, pharynx …) On parle de rhinite lorsqu’il y a inflammation de la muqueuse nasale, et de pharyngite lors d’une inflammation du pharynx (la paroi postérieure de la gorge).

Pourquoi agir ?

En cas de rhume, peu de mucus suffit à boucher les petites narines de votre bébé. Pour lui permettre de bien respirer, vous devez procéder au lavage de son petit nez, car un nourrisson de moins de 6 mois respire quasi exclusivement par le nez. Au quotidien, comme en cas de rhume, il est donc important de procéder à un lavage nasal régulier, voire répété autant de fois que nécessaire, pour évacuer les sécrétions en excès. D’autant qu’avec un nez qui coule ou un nez encombré, votre bébé aura des difficultés à téter et à dormir.

Comment reconnaître la rhinITe de votre bébé ?

  • Son nez est bouché ou coule
  • Bébé éternue
  • Ses yeux peuvent être  rouges
  • Il perd l’appétit, a du mal à manger et à boire
  • Il est irritable et agité, se réveille plusieurs fois par nuit
  • Son nez est irrité

En cas de doute, vous pouvez demander conseil à votre pharmacien ou médecin.

L’évolution de la maladie

Après 1 à 3 jours d’incubation en moyenne, la première étape de la rhinite  se traduit par des picotements, des éternuements, et un gonflement de la muqueuse nasale qui procure une  sensation de nez bouché : c’est le rhume sec. Il est suivi d’une phase humide avec un écoulement, d’abord clair mais pouvant devenir jaune ou verdâtre.

Chez le nourrisson de moins de 3 mois, il est conseillé de consulter un médecin sans attendre. Pour les bébés plus âgés, il est recommandé de consulter(2)

  • si la fièvre dépasse les 38,5°C,
  • si il y a des douleurs aux oreilles
  • si l’état ne s’améliore pas sous 10 jours.
  • si l’écoulement est limité à une seule narine.

En effet, il peut s’agir d’une autre pathologie, telle que : otite, conjonctivite, sinusite, bronchite…

PHYSIOMER® Micro-diffusion, une efficacité prouvée contre le rhume de Bébé

Chez le nourrisson à partir de 1 mois, Physiomer® Micro-diffusion(3) est un  spray nasal  adapté pour laver  son  nez délicat au quotidien. En effet, Physiomer® Micro-diffusion est un spray nasal entièrement naturel, composé à 100 % d’eau de mer, sans conservateur et au pH optimal pour la muqueuse nasale. Efficace pour l’hygiène au quotidien de votre bébé, vous pouvez ainsi l’utiliser en toute confiance.

En cas de rhume, de nez bouché ou de nez qui coule, Physiomer® Micro-diffusion nettoie, et aide  le bébé à mieux respirer. Le flacon garantit la stérilité de la solution après chaque utilisation et préserve ainsi toute la richesse naturelle de Physiomer® en sels minéraux et oligo-éléments marins. Parce que Physiomer® Micro-diffusion ne contient aucun gaz propulseur, son spray agit en douceur ce qui permet à l’enfant de mieux supporter le lavage nasal, et pour vous une utilisation dans toutes les positions.

Le Mouche Bébé, uN bon complément en cas de rhume

En cas de rhume ou de rhinite, il peut être utile de compléter le lavage nasal avec l’utilisation du Mouche bébé Physiomer®. Ce dispositif d’aspiration, qui permet d’évacuer les sécrétions nasales de manière efficace, simple et hygiénique, est conseillé en cas de rhume pour décongestionner le nez encombré et aider bébé à mieux respirer.

Son embout ultra-souple a ainsi été conçu pour s’adapter au nez délicat de bébé avec un plus grand confort d’utilisation. Son corps transparent est facile à nettoyer et vous permet de contrôler l’excès de mucus aspiré. Entièrement lavable à l’eau chaude, vous pourrez le réutiliser à volonté. Les filtres fournis, à usage unique, assurent une utilisation hygiénique du mouche bébé en bloquant le mucus aspiré dans la partie avant du dispositif.  Pour la santé et la sécurité de votre bébé, le Mouche Bébé Physiomer® est fabriqué sans bisphénol A et sans PVC.

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Pour qui ?

  • Bébé à partir d’1 mois

Pour quoi ?

  • Nez bouché
  • Nez qui coule
  • Rhume
  • Hygiène quotidienne
Pourquoi Physiomer® Micro-diffusion est-il le meilleur allié des jeunes Mamans ? Parce qu’avec son spray nasal en Micro-diffusion il est le mieux adapté
pour laver en douceur le petit nez délicat de votre bébé, dès 1 mois. Physiomer® Micro-diffusion lave, hydrate et désencombre les fosses nasales. Il est également idéal pour les jeunes enfants jusqu’à 2 ans.Physiomer® Micro – diffusion(1) permet de :EN HYGIENE QUOTIDIENNE
Aide au mouchage des nourrissons :

  • Nettoie les fosses nasales et évacue les agents infectieux et allergènes
  • Participe à la protection contre les infections
  • Humidifie les fosses nasales pour prévenir la sécheresse de la muqueuse

EN CAS DE RHUME

  • Diminue la viscosité du mucus et facilite son élimination
  • Rétablir la respiration nasale en cas de nez bouché

Le jet en micro-diffusion est particulièrement adapté pour laver en douceur le nez du nourrisson.
Pour soulager le nez encombré de bébé, utilisez un mouche bébé tel que le Mouche Bébé Physiomer®.
Efficace et rapide, il permet d’éliminer les mucosités en excès .

  • Le jet en micro diffusion est particulièrement adapté pour laver en douceur le nez du nourrisson. Il garantit une répartition uniforme de la solution grace à son jet en micro-diffusion. Résultat : le nez délicat de votre bébé est parfaitement nettoyé et débarrassé des mucosités qui l’encombre et l’empêche de bien respirer. Pour soulager le nez encombré de bébé, utilisez un mouche bébé tel que le Mouche Bébé Physiomer®.
  • Son embout : l’embout de Physiomer Micro-diffusion® est conçu pour s’adapter à la morphologie du petit nez de bébé. Aucun risque de blessure et la garantie d’un lavage nasal plus doux et mieux accepté par votre bébé !
  • Une formule 100% eau de mer : grâce à un procédé de fabrication exclusif, Physiomer® préserve les bienfaits de l’eau de mer de Saint-Malo et sa richesse en minéraux et oligo-éléments marins qui lui confèrent des propriétés apaisantes et cicatrisantes.

Nourrissons dès 1 mois

En hygiène quotidienne préventive
Utilisez quotidiennement 2 pulvérisations dans chaque narine le matin et le soir, même si le nez de bébé ne coule pas. Pour aider au mouchage et en prévention des  infections au niveau de la sphère ORL : otites, rhinites, pharyngite…

Nez qui coule ou bouché en cas de rhume et rhinopharyngite
Renouveler les pulvérisations aussi souvent que nécessaire pour bien dégager le nez et éliminer les mucosités

A NOTER : Avec Physiomer®, ce qui est bon pour votre Bébé l’est aussi pour tous ! Les propriétés bénéfiques de Physiomer® Micro-diffusion  s’appliquent aussi aux Enfants et aux Adultes.

  • 100 % eau de mer naturelle
  • Sans conservateur ni ajout de substance chimique
  • Stérile
  • pH optimal pour la muqueuse nasale
  • Isotonique*

*de concentration en sels minéraux et oligo-éléments équivalente à 9g/l de chlorure de sodium en solution aqueuse comme celle de l’organisme.

  1. Allonger votre bébé et incliner sa tête sur le côté, jamais en arrière pour éviter tout risque de fausse route
  2. Introduire l’embout délicatement dans une narine et exercer une pression franche et brève  pour libérer la solution
  3. Après quelques secondes, la solution ressort en principe par l’autre narine, signe que le lavage est bien fait. En cas de congestion nasale, lorsque la solution ne passe pas dans l’autre  narine, aidez-vous du Mouche-bébé Physiomer® pour évacuer l’ensemble des sécrétions.
  4. Tourner la tête de votre bébé de l’autre côté et renouveler l’application dans l’autre narine
  5. Redresser votre bébé en le prenant dans les bras, moucher ou essuyer avec un tissu propre

Laver l’embout sous l’eau chaude après chaque utilisation.

Surtout : ne pas dramatiser !
Votre bébé pleure à chaudes larmes lorsque vous essayez de nettoyer son petit nez ? Rien de plus normal : il est surpris par ce nouveau geste d’hygiène. Mais pas d’inquiétude, un peu de persévérance et vous verrez : quel soulagement pour tous les deux dès que Bébé va commencer à bien respirer et se sentir mieux !Expliquer c’est gagné. Bébé comprend tout, et tout se passe mieux quand on lui explique ce qui va se passer. Annoncez-lui comme un petit jeu que vous allez lui laver le nez et vaporisez un peu de Physiomer® dans l’air pour l’amuser. Il sera moins surpris et plus détendu.Attention à ne pas instiller Physiomer® lorsque bébé penche sa tête en arrière. Vous éviterez ainsi que la solution ne coule dans sa gorge et ne le fasse tousser.Le bon timing : pensez à laver le nez de Bébé avant le biberon pour qu’il puisse bien respirer pendant son repas !
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Mouche Bébé Physiomer
Les Bébés ne savent pas se moucher avant l’âge de 2 ans. Heureusement, il y a le Mouche Bébé Physiomer®, spécialement conçu pour soulager de manière douce, efficace et rapide les petits nez congestionnés. Muni d’un embout ultra souple pour ne pas irriter le nez délicat des tout-petits, il évacue l’excès de sécrétions nasales et les aide ainsi à mieux respirer. Son corps est complètement transparent pour contrôler la quantité de mucus récupéré.  Intraitable avec l’hygiène, le Mouche Bébé Physiomer s’utilise avec des filtres protecteurs qui piègent les mucosités. Ces filtres à usage unique sont vendus séparément en pharmacie et parapharmacie.

Pour qui ?

  • Bébé à partir d’1 mois

Pour quoi ?

  • Nez qui coule
  • Rhume
  • Rhinopharyngite

Le Mouche Bébé Physiomer®(1) permet de :

EN CAS DE RHUME

  • Eliminer les excédents de mucus
  • De la douceur ! Embout ultra souple spécialement conçu pour s’adapter aux petits nez délicats.
  • De l’efficacité : il piège les sécrétions et son corps entièrement transparent permet de contrôler le niveau de mucus récupéré
  • Une hygiène totale : entièrement lavable et réutilisable, il est muni d’un filtre protecteur, à changer à chaque utilisation, pour une hygiène maximale.

La posologie

Dès 1mois, les nourrissons ont besoin du Mouche Bébé Physiomer® ! Alors qu’ils ne savent pas se moucher, les tout-petits développent en moyenne 8 infections pas an.  Sans compter les désagréments occasionnés au quotidien par un simple nez bouché : perte d’appétit, troubles du sommeil, pleurs et nuits agitées…

Nez qui coule ou nez bouché en cas de rhume et rhinopharyngite
Peut s’utiliser aussi souvent que nécessaire en cas de nez encombré, de préférence avant le coucher ou les repas.

La composition

  • 1 valisette de rangement
  • 1 mouche bébé
  • 1 boîte distributrice de 5 filtres protecteurs
  • Sans bisphénol A, sans PVC
  • Recharge de 20 filtres à usage unique vendue séparément en pharmacie et parapharmacie.

Un geste simple !

  1. Rincer le Mouche Bébé Physiomer® à l’eau chaude avant sa première utilisation.
  2. Allonger le nourrisson sur le dos dans une position confortable.
  3. Après lui avoir lavé le nez avec Physiomer Micro-diffusion, placer l’embout juste à l’entrée de la narine et aspirer par l’embout buccal.
  4. Le mucus est récupéré dans le mouche bébé et le filtre protecteur hygiénique l’empêche de pénétrer dans le tuyau d’aspiration.
  5. Renouveler dans l’autre narine.
  6. Relever doucement le bébé et essuyer le nez.
  7. Jeter le filtre souillé après utilisation.

Laver et sécher le Mouche Bébé.
Ne pas stériliser ni bouillir.

Mieux moucher, mieux respirer.
En cas de sécrétions épaisses ou difficiles à aspirer, utiliser un spray d’hygiène nasale adapté aux nourrissons tel que Physiomer® Micro-diffusion pour fluidifier le mucus en excès avant d’utiliser le Mouche bébé Physiomer®.

Prévenir le rhume de bébé

Les complications du rhume

Les fosses nasales, qui communiquent avec le reste de l’appareil respiratoire et auditif (oreilles, sinus, pharynx,…) sont recouvertes d’une muqueuse.
C’est par cette porte d’entrée que certains virus et bactéries peuvent toucher l’appareil respiratoire.

Le système immunitaire encore immature chez le bébé ne joue pas pleinement son rôle de défense. Ce qui explique que les bébés et les enfants soient si souvent sujets au rhume, d’autant plus qu’ils évoluent dans des environnements (crèches, écoles) propices à la contagion. Néanmoins, la muqueuse développe des mécanismes grâce au nettoyage muco-ciliaire pour éviter les infections et leur propagation.

Lorsque  les virus responsables du rhume ont infecté les fosses nasales, s’ils ne sont pas  combattus par le système de défense de l’organisme, ils peuvent se propager :

  • vers l’oreille, pouvant provoquer des otites(1);
  • vers les sinus, pouvant provoquer des sinusites ;
  • vers la gorge : votre enfant peut souffrir alors de rhinopharyngite ou de laryngite ;
  • vers les bronches et bronchioles où ils peuvent provoquer une bronchite ou bronchiolite.

Pourquoi et comment prévenir ?

Chez bébé, la respiration se fait uniquement par le nez durant les premiers mois de vie. Toute gêne ou congestion au niveau de son nez rend sa respiration, son alimentation et son sommeil difficile. Si le rhume vient à provoquer des complications, la gêne est d’autant plus difficile à supporter pour votre bébé, ce qui augmente l’inquiétude des parents. Il est donc primordial de prévenir autant que possible le rhume de bébé et ses complications.

Les mesures préventives reposent en grande partie sur des gestes d’hygiène de base :

  • Laver régulièrement les mains de votre enfant. Bébé a tendance à souvent porter ses mains à la bouche, au nez et aux yeux, le meilleur moyen d’assurer la contamination
  • Laver régulièrement ses jouets et peluches.
  • Aérer régulièrement les pièces
  • Quand l’un des proches est touché, demandez-lui de se laver les mains en présence de bébé et de se couvrir la bouche et le nez lorsqu’il éternue ou tousse.
  • Evitez de fumer dans l’entourage de bébé. En plus de ses autres méfaits, le tabagisme passif fragilise sa muqueuse et le rend plus vulnérable aux infections (2).

Enfin, bébé ne sachant pas encore se moucher, c’est à vous de vous assurer de sa bonne hygiène nasale lors de la toilette quotidienne, par exemple lavez lui le nez à l’aide d’une solution d’eau de mer.

Physiomer®, votre allié dans la prévention du rhume et de ses complications(3)

Les produits Physiomer® vous offrent une solution pratique, sûre, douce et efficace pour le lavage nasal de bébé. Ils vous aident à garantir une bonne hygiène nasale pour votre bébé et prévenir le rhume et ses complications. Les solutions PHYSIOMER® agissent sur plusieurs plans :

  • En humidifiant les fosses nasales, Physiomer® prévient la sécheresse de la muqueuse qui survient souvent dans les habitations surchauffées en hiver. Cette sécheresse, au-delà d’induire un inconfort pour votre bébé, rend également sa muqueuse nasale plus sensible aux infections.

Physiomer® fluidifie le mucus, chargé des impuretés et des pathogènes potentiels. Il facilite ainsi son évacuation naturelle par le battement des cils disposés à la surface des cellules nasales. Eliminés plus rapidement  les facteurs d’agression ont donc moins de risques de provoquer un rhume et ses complications.

Prévenir le rhume de votre bébé c’est aussi prévenir les complications qui gênent sa respiration, son alimentation et son sommeil.
Choisir Physiomer®, c’est choisir une solution sûre, naturelle et efficace pour prendre soin du nez de votre bébé.

La respiration de bébé

La respiration de bébé, un système encore immature.

A la naissance votre bébé sait respirer. Cependant sa respiration ne ressemble pas encore à celle des adultes et va évoluer au cours des premières semaines et premiers mois de sa vie. On dit que sa respiration est immature. Leur rythme respiratoire est plus rapide que celui d’enfants plus âgés et leur respiration n’est pas régulière, notamment durant leur sommeil. C’est d’ailleurs souvent un sujet d’inquiétude pour les jeunes parents. Il faut savoir que cette respiration, dite respiration périodique, est tout à fait normale.

Le nez : organe central pour la respiration de bébé.

Le nez tient une place centrale dans la respiration de bébé. Grâce à cette caractéristique et à des particularités de son anatomie, il peut respirer en même temps qu’il tête, sans risque d’étouffement puisque le trajet de l’air et du lait ne se croisent pas. Au fur et à mesure de son développement, il va perdre cette capacité en même temps qu’il lui deviendra possible de respirer par la bouche.

Le nez de bébé essentiel mais fragile.

Les narines du nouveau-né  sont  petites. Du fait de cette anatomie, l’obstruction des fosses nasales est assez courante chez bébé. De plus il ne sait pas évacuer les sécrétions nasales en se mouchant et leur stagnation prolongée peut empirer l’obstruction. Habituellement elle est bégnine et après quelques jours bébé respirera normalement. Un encombrement  plus sévère peut cependant se révéler problématique puisque sa respiration est nasale. La gêne respiratoire occasionnée se traduit alors par une difficulté à s’alimenter correctement et un sommeil de moins bonne qualité. Toutes les conditions pour rendre bébé grognon !
Mais le nez de bébé est bien plus qu’un simple conduit de l’air. Au cours de son passage par les fosses nasales, l’air va être réchauffé, filtré et humidifié avant d’arriver aux poumons. L’air inhalé subit un nettoyage minutieux pour éliminer les poussières, polluants et micro-organismes potentiellement dangereux.

Les complications infectieuses chez le bébé.

Les fosses nasales sont tapissées d’une muqueuse en charge de ce nettoyage. Cette muqueuse est le regroupement de plusieurs couches de cellules aux fonctions multiples.
Certaines vont fabriquer le mucus qui va emprisonner les particules à éliminer comme le ferait une colle. En plus de cette action mécanique, il contient des éléments qui vont aider à neutraliser les pathogènes.
Les cellules situées à l’interface avec l’air sont équipées de cils qui battent en harmonie. Ils agissent comme un tapis roulant qui va éliminer le mucus chargé d’impuretés vers l’estomac. La combinaison de ces deux phénomènes porte le nom de clairance muco-ciliaire. C’est un élément essentiel de la défense de notre organisme contre les bactéries et virus inhalés potentiellement pathogènes. Il l’est d’autant plus chez bébé car son système immunitaire est immature ce qui le rend plus vulnérable aux infections. Lorsqu’un excès de mucus  se produit cela met en défaut la clairance muco-ciliaire ce qui peut rapidement entraîner obstruction, congestion et infection nasale car les micro-organismes restent en contact avec la muqueuse.
Le nez de bébé est naturellement colonisé par toutes sortes de micro-organismes. On ne connaît pas leur rôle exact mais on pense qu’ils participent à la maturation du système immunitaire du bébé. Cet équilibre est fragile et sa rupture peut conduire à l’infection. Le nez communicant avec les sinus, l’oreille et le reste des voies respiratoires, l’infection peut s’y propager et être à l’origine de complications telles qu’otite, bronchite et bronchiolite.

Comment aider bébé en cas de congestion nasale ?

Bébé ne sait pas encore se moucher pour éliminer le mucus en excès ou le mucus qui s’évacue mal. Il faut l’aider à l’éliminer pour rétablir une respiration normale et limiter le risque d’infections. Pour cela un lavage nasal est recommandé(1) (2). En humidifiant les fosses nasales et en augmentant la clairance muco-ciliaire, il va favoriser l’évacuation des sécrétions nasales. Ainsi, il débouche le nez de bébé, facilite sa respiration et limite le contact des pathogènes avec la muqueuse du nez. Vous pouvez avoir recours à des solutions pour le lavage nasal, telles que Physiomer® Micro-diffusion utilisées seules ou en complément d’un mouche bébé. Si les symptômes de la congestion persistent, demandez conseil à votre pharmacien ou médecin.

Physiomer une solution efficace pour bébé.

Lorsque le nez de bébé est bouché, sa respiration devient bruyante. Il va respirer par la bouche pour y pallier mais la respiration buccale l’empêche de s’alimenter en même temps qu’il respire et va souvent rendre ses repas plus difficiles. De plus, l’air ne pourra pas subir le nettoyage, réchauffement et humidification optimaux avant d’arriver aux poumons. Ces conséquences de la congestion nasale sont une source d’inquiétude souvent évoquée par les parents.
Quand le nez de bébé est pris, l’utilisation du mouche-bébé de façon occasionnelle en renfort du lavage nasal peut améliorer le confort de votre bébé.

Physiomer® – l’eau de mer naturelle, stérile et  sans conservateurs – est la solution idéale pour prendre soin du petit nez de bébé
en douceur tout en étant efficace pour que bébé respire bien toute l’année.

Laver le nez de bébé, un réflexe à adopter

Le lavage nasal, un geste QUOTIDIEN pour son confort

Les causes d’obstruction nasale chez bébé sont variées. Un mucus trop sec qui stagne dans les fosses nasales, une infection qui va augmenter la production de mucus, et boucher son petit nez, et bébé est vite gêné dans sa respiration. Le lavage nasal peut pallier à ces soucis en agissant à plusieurs niveaux :

en humidifiant la cavité nasale, il fluidifie les sécrétions et facilite donc l’évacuation naturelle du mucus ;

  • il aide à la clairance muco-ciliaire pour évacuer le mucus vers l’estomac où il sera détruit.

Ces actions physiques concourent à diminuer le contact des pathogènes et autres irritants avec la muqueuse nasale.

Physiomer® une solution douce pour son petit nez

Tous les parents qui ont déjà pratiqué des instillations de sérum physiologique dans le nez de leur bébé savent qu’il y est très réticent. Pleurs, agitations, résistance transforment ce geste qui doit l’aider en une véritable bataille.
Physiomer® Micro-diffusion a été spécialement conçu pour aider bébé à l’accepter. L’eau de mer est vaporisée à température ambiante en une fine brume pour ne pas le surprendre. L’embout de Physiomer® Micro-diffusion est adapté à la physionomie du petit nez de bébé, il est conseillé de le laver après chaque utilisation. Sa formule naturelle est composée de 100% eau de mer, isotonique (teneur en sel identique à celle de l’organisme), stérile et sans conservateur. Enfin son flacon incassable et utilisable dans toutes les positions rend le lavage de bébé confortable et flexible. Fini les chagrins !

Physiomer®, une solution hygiénique.

Même sans conservateurs, le flacon de Physiomer® a été spécialement étudié pour offrir une garantie de stérilité grâce à une valve anti retour et ce  même en utilisation intermittente. Le mouche-bébé quant à lui est entièrement lavable et réutilisable. Les sécrétions aspirées sont piégées dans les filtres protecteurs à usage unique et garantissent une hygiène maximale.

Physiomer®, un geste de tous les jours.

Le lavage nasal est un geste reconnu pour combattre l’obstruction nasale de bébé. L’utilisation du mouche-bébé en complément peut être nécessaire notamment pour désobstruer le nez de bébé avant le repas pour qu’il s’alimente correctement. L’embout ultra-souple du mouche-bébé Physiomer®(1) s’adapte au nez de bébé pour un meilleur  confort d’utilisation.

  • Quand le rhume s’est installé, le lavage nasal aide à améliorer ses symptômes et facilite ainsi  la respiration de bébé. Utilisé conjointement au mouche-bébé, le lavage nasal diminue la respiration orale, bruyante(2).

Physiomer® Micro-diffusion  pour  le lavage nasal de bébé,  un geste simple, efficace et sûr.
Utilisé régulièrement en prévention  ou en cas de rhume  c’est une solution efficace pour limiter l’inconfort de bébé.

AUTRES MARQUES :

– PRORHINEL

– PHYSIODOSE

– NEZPIRATEUR

– VISIOMED

– BEBE CONFORT

LA RHINOPHARYNGITE :

Un peu fiévreux, bébé a le nez qui coule et plus ou moins bouché. Et le soir venu, il est pris de toux nocturnes parfois virulentes. C’est sans doute une rhinopharyngite. Comment reconnaître les symptômes et traiter cette maladie star de l’hiver ?

Cette infection des voies respiratoires est un classique chez le tout-petit dès l’âge de 6 mois. « Elle se caractérise par un écoulement nasal plus ou moins épais et une progressive obstruction nasale due à l’accumulation de sécrétions plus abondantes que d’ordinaire, associés à de la fièvre dont l’intensité est variable, de fréquentes toux nocturnes et éventuellement une voix rauque ».

La forme banale

Le plus souvent, il suffit de laver le nez de bébé avec du sérum physiologique pour dégager ses fosses nasales et utiliser un mouche-bébé qui aspire les sécrétions. « Si sa température dépasse les 38°5, donnez-lui un médicament contre la fièvre, adapté à son poids, et un sirop fluidifiant vendu en pharmacie dont le but est de décongestionner », précise le spécialiste. En général, la rhinopharyngite disparaît en 3 à 7 jours.

Les complications possibles

Si la fièvre et l’écoulement nasal plus épais persistent et s’aggravent, et si votre enfant se plaint des oreilles, a mal à la gorge ou a des difficultés à respirer, il peut s’agir d’une surinfection source de nouvelles complications (otite, laryngite, bronchite). Dans ce cas, consultez votre médecin généraliste ou votre pédiatre qui vous proposera un traitement adapté.

Quand opérer ?

Pendant l’hiver, certains enfants font des rhinopharyngites à répétition tous les 15 jours et gardent sans cesse le nez bouché ou enchaînent les complications. « Il est alors conseillé de consulter un Oto-rhino-laryngologiste (ORL) qui envisagera selon les cas une ablation des végétations (adénoïdectomie) « , recommande le docteur Jean-Marc Juvanon, Secrétaire de la Société française d’ORL. Cette rapide intervention chirurgicale réalisée sous anesthésie générale nécessite une demi-journée d’hospitalisation. « Même si elle n’empêche pas la survenue des rhinopharyngites, elle permet toutefois d’en atténuer la forme et surtout d’éviter toutes complications », conclut le spécialiste.

LA GRIPPE

Comment savoir si mon bébé a la grippe ou un rhume ?

Ce n’est pas toujours facile ! Chez les jeunes enfants, il est souvent difficile de faire la différence entre les symptômes de la grippe et ceux d’autres maladies comme le rhume, par exemple. Si votre enfant se met soudainement à avoir une forte poussée de fièvre (38 °C ou plus), il y a plus de risques pour qu’il s’agisse d’une grippe que d’un rhume.
Les autres symptômes d’une grippe sont :

Si bébé commence par avoir le nez bouché et à tousser avant d’avoir de la fièvre, il s’agit plutôt d’un rhume. Dans ce cas, il risque aussi d’être grognon, de manquer d’appétit, d’avoir mal à la gorge ou des ganglions enflés.

Que puis-je faire pour l’aider à se sentir mieux ?

Les bébés grippés ont surtout besoin de boire et de dormir beaucoup. Si votre enfant est déjà passé à une alimentation solide, il aura peut-être du mal à avaler : bouillons et soupes passeront mieux que les purées et lui apporteront les liquides supplémentaires dont il a besoin. Si son âge le permet, donnez-lui du paracétamol ou de l’ibuprofène pour nourrissons (en suspension pédiatrique) afin de faire baisser la fièvre et soulager ses douleurs musculaires. N’oubliez pas de vérifier soigneusement la dose et l’âge minimum sur la notice du médicament et de demander conseills à votre pédiatre ou médecin. Bébé devrait commencer à se sentir mieux au bout de trois à cinq jours. La fièvre cèdera en premier, puis c’est l’appétit qui devrait revenir. Certains enfants (ou adultes) peuvent tousser ou souffrir de douleurs musculaires pendant plusieurs jours même après l’arrêt de la fièvre.

Quand dois-je consulter mon pédiatre, mon médecin ?

Si bébé a moins de trois mois, contactez votre pédiatre ou médecin dès les premiers signes de la maladie.

Pour les bébés plus âgés ou les tout-petits, consultez un médecin si :

  • les symptômes persistent pendant plus de cinq jours,
  • la température grimpe au-dessus de 39°C
  • votre bébé semble avoir des difficultés respiratoires, une respiration sifflante, mal aux oreilles, une toux qui persiste ou une substance épaisse et verdâtre qui lui coule du nez.

LA FIEVRE

LA FIEVRE / + DE 38°C faire boire fréquemment pour éviter toute déshydratation.

Dès 38°C, faire baisser la fièvre au plus vite, car la température peut grimper très rapidement. (ex: doliprane…)

paracétamol : pas avant 3 mois.

Ne pas donner de sirops anti-toussif cela empêche les sécrétions qui l’encombrent, de s’évacuer.

Si supérieur à 38°c jusqu’à l’âge de trois mois l’emmener directement aux urgences pédiatriques

le plus proche si besoin ou consulter le plus rapidement possible, sans lui administrer de traitement avant qu’il soit examiné ou conseillé.

Température normale : +36.5 à +37.5/8°C.

C’est un phénomène sans gravité et même utile qui permet à l’organisme de défendre ! Il est rare que la fièvre soit le seul signe d’une maladie grave ou même qu’elle entraîne des complications. Néanmoins si elle persiste plusieurs jours ou gène vraiment l’enfant, il est important d’en informer votre médecin. Attention chez les très jeunes enfants (moins de 6 mois) il faut consulter immédiatement.

Donner un bain tiède à un enfant fiévreux risque d’augmenter son malaise plutôt que de baisser réellement sa température. De même les poches de glace ne sont plus vraiment conseillées. Attention cependant, si votre enfant apprécie particulièrement le bain, il ne faut pas se priver de lui en donner (à température corporelle 37°c).

Il est important de ne donner qu’un seul type de médicament, en respectant les doses et les intervalles entre les prises. Si cela ne suffit pas à faire baisser sa température, consultez votre médecin.

Il faut maintenir une température de 18-20°C dans la chambre de l’enfant

La température est très importante pour le confort de l’enfant qui a de la fièvre. Une température de 18-20° C est idéal en cas de fièvre, ni trop chaud ni trop froid. Attention aussi a ne pas trop couvrir votre enfant !

Généralement, il n’est pas nécessaire d’envisager la prise de médicaments en dessous de 38,5°C. Si elle est bien supportée par l’enfant, la fièvre ne nécessite pas de traitement systématique.

Seuls le paracétamol, l’ibuprofène, le kétoprofène et l’aspirine peuvent être utilisés. La capacité à faire baisser la fièvre de ces quatre antipyrétique est pratiquement identique. Chez l’enfant de moins de 3 mois seuls le paracétamol et l’aspirine peuvent être utilisés.

Quoi qu’il en soit, lisez toujours attentivement les notices de vos médicaments.

Les effets secondaires graves des antipyrétiques sont rarissimes

Les effets secondaires graves reportés pour l’ibuprofène, le paracétamol et l’aspirine sont très rares, seuls quelques dizaines de cas ont été reportés en 2003 pour plus de 20 millions de traitements prescrits. La sécurité de ces produits est donc très importante.

Pour prendre la température de manière précise, mieux vaut utiliser la voie rectale.

Mais cela n’est pas toujours facile chez l’enfant. Aussi, on peut mesurer la température sous la langue ou l’aisselle (=voie axillaire, rajouter 0.5°C à la température affichée) ou encore dans le conduit de l’oreille, avec des thermomètres spécifiques.

Les nourrissons ont souvent de la fièvre après leurs vaccins; de la fièvre peut également accompagner un gros rhume, une grippe, un mal de gorge, une otite, une maladie respiratoire, une laryngite, une maladie virale et des infections urinaires.

Comment savoir si la fièvre de mon bébé est grave ?

Le comportement de votre enfant est plus important que sa température. S’il a 39°C de fièvre, qu’il se nourrit bien, est réactif et se laisse facilement réconforté, vous avez moins de raisons de vous inquiéter que si sa fièvre est de 38° C mais qu’il est inconsolable, mou et peu réactif. Contactez votre médecin si votre tout-petit agit bizarrement :

  • Sa fièvre dure plus de deux jours,
  • il commence soudainement à pleurer plus que d’ordinaire,
  • vous ne parvenez pas à le réconforter,
  • il est léthargique,
  • la nourriture ne l’intéresse pas.

Un nourrisson de moins de trois mois qui a plus de 38°C de température doit être amené chez le médecin ou pédiatre. Les médecins, pédiatres ont l’habitude de faire un plus grand nombre d’examens aux très jeunes bébés qui ont de la fièvre.

Si les tout-petits tombent souvent malades, ils récupèrent vite. Contactez toutefois votre médecin ou pédiatre si la fièvre dure plus de 2 jours.

Comment détecter la fièvre ?

Les parents sont généralement capables de dire si leur enfant a de la fièvre en lui touchant ou lui embrassant le front (des études ont montré que cette méthode s’avérait exacte dans environ 75 % des cas). Employez un thermomètre pour obtenir une lecture exacte. Évitez le thermomètre oral avant l’âge de 3 ans. Pour un nourrisson, la température axillaire peut suffire à voir s’il a de la fièvre. Placez l’extrémité du thermomètre sous l’aisselle de votre enfant et maintenez son coude en place contre son côté pendant environ 5 minutes (les thermomètres digitaux émettent un bip lorsque la mesure s’affiche). La température axillaire est inférieure de 0,8°C à la température rectale. A vous d’ajuster le résultat en conséquence. La prise de température rectale est la plus fiable.

Le thermomètre auriculaire permet de prendre rapidement la température de votre enfant et d’obtenir une lecture précise. Mais il reste coûteux à l’achat et requiert une main sûre pour obtenir une lecture exacte. Les bandelettes thermosensibles, placées sur le front de l’enfant, sont moins précises mais peuvent être utiles avec un bébé qui se tortille dans tous les sens.

Comment soigner la fièvre de mon bébé ?

Il n’y a rien de spécial à faire, à moins que votre enfant supporte mal la fièvre, qu’il manque de tonus, soit fatigué, peu réactif ou qu’il ait souffert de convulsions fébriles dans le passé. Il est nécessaire de faire tomber la fièvre si elle est supérieure à 38,5°C.

Comment soigner la fièvre de mon bébé ?

Il n’y a rien de spécial à faire, à moins que votre enfant soit très mal à l’aise ou ait souffert de convulsions fébriles dans le passé. Voici quelques mesures pour apaiser la fièvre :

  • Si votre nourrisson a plus de 38,5°C ou supporte mal la fièvre, votre médecin ou pédiatre vous conseillera certainement de lui administrer une dose de paracétamol en solution buvable, quel que soit son âge, pour faire baisser la température. Attention, demandez toujours conseils à votre médecin ou pédiatre avant de donner un médicament et respectez les dosages
  • Habillez votre tout-petit avec des vêtements légers et en coton (ne l’emmaillotez pas pour faire tomber la fièvre).
  • Gardez sa chambre fraîche. Si nécessaire, placez un ventilateur près de son lit et couvrez-le uniquement avec un drap ou une couverture légère. Vous pouvez aussi le déshabiller et le laisser juste en couche.
  • Faites-le boire beaucoup. Les petits bébés ont besoin de beaucoup de lait maternet ou en poudre selon leurs habitudes. Si vous avez déjà introduit d’autres boissons, proposez-lui des glaces à l’eau, soupes liquides ou jus de fruit dilué. L’eau plate reste la boisson à favoriser en cas de fièvre.
  • Donnez-lui un bain. Mettez votre enfant dans un bain d’eau tiède ( à une température inférieure que celle de son corps) et frottez-lui le corps, zone par zone, avec un gant légèrement essoré ou une éponge. Ne le séchez pas, mais laissez plutôt l’eau s’évaporer. Cela ne fait pas baisser sa température mais permet de rafraîchir bébé et de le mettre plus à l’aise.

Gouttes ou sirop pour la douleur ou la fièvre

Tout d’abord, vous devez allonger votre enfant sur le dos, en lui tenant fermement la tête d’une main. Ensuite, appliquez les gouttes ou le sirop sur ses gencives à l’aide d’un compte-gouttes ou d’une seringue (sans aiguille). Prenez soin de procédez doucement, afin que votre enfant ne s’étouffe pas.

Mettre un suppositoire à bébé

Lorsque votre enfant a de la fièvre, l’idéal est de lui administrer son médicament par voie orale, mais parfois, il peut aussi être utile de lui mettre un suppositoire.

Pour ce faire, vous devez allonger votre enfant sur le dos et lui maintenir les jambes en l’air. Apaisez la zone en appliquant une huile spéciale pour les nouveau-nés puis introduisez le suppositoire dans son rectum.

À ne pas faire :

  • Ne confinez pas votre enfant au lit. S’il vaut mieux qu’il ne se dépense pas trop, il peut tout à fait avoir une activité modérée.
  • N’affamez pas un bébé fiévreux ; les nourrissons malades ont besoin de beaucoup de calories et de liquides. Mais il se peut qu’il n’ait pas trop faim, ne le forcez pas.
  • Ne vous inquiétez pas trop. Certains tout-petits peuvent avoir de la fièvre et continuer à jouer ; d’autres peuvent souffrir un peu mais avec des soins adaptés, votre bébé devrait vite retrouver sa forme.

Qu’est-ce qu’une convulsion fébrile ?

Si la température de votre enfant augmente tout à coup, qu’il devient pâle, se raidit, est pris de tremblements incontrôlables, que ses yeux se révulsent et qu’il perd même conscience, il s’agit peut-être d’une crise provoquée par la fièvre, connue sous le nom de convulsion fébrile. C’est très impressionnant à voir mais l’enfant ne souffre pas. Il faut en revanche l’empêcher de tomber du lit ou de la chaise. Bien qu’elles puissent sembler durer très longtemps, ces crises se limitent généralement à 20 secondes et durent rarement plus de deux minutes. Si la convulsion dépasse cinq minutes, appelez le SAMU (15) ou emmenez immédiatement votre bébé au service des urgences. Quoi qu’il arrive, il devra absolument voir un médecin ou pédiatre le jour même de la crise afin de poser un diagnostic exact. La crise convulsive due à la fièvre n’est pas grave chez l’enfant de moins de 5 ans. Elle n’a aucune conséquence sur son développement et ne laisse aucune séquelle.

Pendant sa crise, ne retenez pas votre bébé d’une quelconque manière. Desserrez simplement ses vêtements s’ils sont trop serrés et enlevez tout objet qu’il aurait dans sa bouche, comme une tétine ou de la nourriture. Appelez votre médecin ou pédiatre une fois la crise terminée.

PRISE DE TEMPERATURE

Méthode de prise de température en utilisant le thermomètre médical électronique
Mode
Technique
Durée de la mesure
Température moyenne
Rectification
Rectale
  • Lubrifier la sonde avec de la vaseline pour faciliter son introduction.
  • Enfoncer doucement la sonde d’environ 2 à 3 cm dans le rectum
Entre 30 et 60 secondes environ
Température moyenne rectale : 37,0 °C
+ 0 °C
Buccale
  • Placer la sonde sous la langue à côté de la base langue en assurant un bon contact.
  • Bien renfermer la bouche et respirer doucement par le nez
Entre 45 et 90 secondes environ
Température moyenne buccale : 36,6 °C
Ajouter
+ 0,4 °C
Axillaire
  • Essuyer l’aisselle avec une serviette sèche.
  • Caler la sonde bien au milieu du creux de l’aisselle, et plaquer le bras contre le thorax.
Entre 60 et 120 secondes environ
Température moyenne axillaire : 36,1 °C
Ajouter
+ 0,9 °C